J'ai été parmi ceux arrêtés et détenus à l'Université Queen et Spadina le dimanche, Juin 27, 2010. Je suis un avocat dans le domaine du litige civil, principalement en matière de droit de l'environnement et de la planification, et là comme un moniteur de l'Association canadienne des libertés civiles (ACLC). Les moniteurs de l'ACLC ont été chargés de prendre des notes en tant qu'observateurs neutres afin de fournir un enregistrement pour évaluer les problèmes possibles de la Charte découlant des manifestations du G20. Je suis accompagné par deux autres moniteurs qui, comme moi, portaient la chemise d'uniforme blanc et casquette blanche avec “Association Canadienne des Libertés Civiles” cousu sur le dos.
Comme beaucoup d'autres, Je n'ai jamais été donné l'occasion de me retirer de l'intersection. Si annonces ont été faites, ni moi, ni les deux autres moniteurs ACLC les entendre avant que nous étions entourés de tous côtés par des lignes de policiers anti-émeute à environ 6:10h. Je suis resté sous la pluie pendant environ 2 heures. Je fis signe avant hors de la foule et mes mains étaient retenus avec liens zip derrière mon dos. Je fait la queue avec beaucoup d'autres pour environ une autre 45 procès-verbal. Une feuille d'arrêt a été rempli par l'officier en charge de moi. Mes biens ont été placés dans des sacs. Il est sans doute intéressant de noter que l'officier qui avait la charge de moi, qui était de Niagara, était enclin à me libérer, après avoir été informé de ma situation, mais ne semble pas penser qu'il pourrait le faire. Je suis menotté mes mains à l'avant de mon corps et de mettre à l'arrière d'une camionnette des services judiciaires avec 5 d'autres femmes. A ce stade, je l'avais dit deux officiers sur la raison de ma présence à l'intersection.
Il y avait environ 6-7 hommes de l'autre côté du véhicule,. La porte était fermée et nous nous sommes assis pour environ 20 procès-verbal, devant le van commencé à se déplacer. Même si nous avons supposé que nous allions être bien au centre de détention à l'Eastern Avenue, il est apparu, après avoir conduit sur une route pendant plus de 15 procès-verbal, que nous avons prises ailleurs. Nous ne savions pas où. Le lecteur a duré environ 30-45 procès-verbal. Nous nous sommes arrêtés et se sont assis pour 5-10 minutes. Un officier a ouvert l'arrière du camion pour vérifier l'orthographe de mon nom comme on ne sait pas à partir de la feuille d'arrêt. Je laisse cet officier sais que plusieurs de ces femmes avaient besoin d'une salle de bain. Il a promis de revenir. Un autre policier est retourné et a pris une de ces femmes à sortir du camion. Je lui ai demandé où nous étions. Il a simplement répondu 43 Division. Il revint quelques minutes plus tard pour enlever une autre femme, et à ce stade nous a informés que nous étions à Scarborough. Les femmes ont été enlevées une à une. Lorsque j'ai été pris du camion je marche dans une autre pièce où on m'a dit que j'étais d'être libéré sans condition. J'étais alors traversé la station, sans ballonnet, et mes affaires me revinrent. Demandai-je utiliser un téléphone comme mon téléphone portable était mort et on m'a dit qu'il n'y avait pas un de disponible, et que je devrais marcher à l'intersection la plus proche – Morningside et Laurent – d'en trouver un. Nous avons tous été dit de quitter les lieux rapidement ou que nous serions chargés de quelque chose d'autre. Il était maintenant complet sombre (environ 10:30h) et je ne pouvais pas voir l'intersection la plus proche de l'extérieur de la station. par conséquent, moi-même et trois autres ont salué un taxi en passant par la station que nous avons repris le centre-ville. Le tarif a été divisé en trois, comme l'un d'entre nous n'a pas eu d'argent ou de débit / crédit.
Cette chronologie est aussi factuelle que possible. Le dessus est un schéma simplifié des événements comme ils se sont produits, établi à partir des notes que j'ai pris à la fois, et un souvenir que je notais dès mon retour le dimanche soir. Je soutiens une enquête publique immédiate parce que nous nous éloignons des événements de la semaine dernière, il peut devenir de plus en plus facile de laisser aller de notre sens que ce qui est arrivé était pas en accord avec les droits et les libertés que nous associons avec le Canada, compte tenu notamment de la messagerie par la police de Toronto et quelques autres. Je sais que je ne reconnaissais pas le Canada dans les événements que j'ai vécu.